O l̮'on retrouve Maxime, jeune garȯn de dix ans dǰ r̉encontr ďans "Le Petit Capuchon rouge" et "Le Petit Pousset", qui dčide cette fois d'utiliser son prčieux don (celui d'intervenir dans les histoires et d'en modifier le dřoulement) afin de mettre un peu d'ordre dans "Cendrillon", s'insurgeant d'entrě de jeu en constatant que le pr̈e, obnubil p̌ar la beaut ďe sa seconde p̌ouse, ne rǎgit pas aux mauvais traitements dont est victime sa fille. ° peine arriv,̌ il se pršente ainsi c̉ette dernir̈e comme un "fě parrain" (question de contrecarrer au passage la discrimination envers les garȯns dans l'univers des fěs), l'aide ảccomplir ses multiples corvěs mňagr̈es et prenant un malin plaisir r̉idiculiser le comportement des ignobles demi-soeurs. Le soir venu, il remet par ailleurs espig̈lement en question les dčisions de la fě marraine, apporte une explication au fait que seuls les souliers de verre conservent leur apparence sur le coup de minuit et prodigue de sages conseils au prince pour lui v̌iter d'avoir ẻssayer la pantoufle t̉outes les filles du royaume alors que ces dernir̈es se lavent environ une fois par mois au Moyen ℗ge. [SDM]

Une parodie pťrie d'humour absurde et d'ironie ayant pour hřos un jeune garȯn au discours lǧr̈ement provocateur et irrv̌řencieux, qui multiplie les jeux de mots faciles et adresses au lecteur tout en s'amusant ici d̉f̌ormer les formules du conte et r̉ailler le comportement des gens entourant Cendrillon. Le texte abondamment dialogu ěst rďig ďans une large typographie et jalonn ďe quelques dessins en noir et blanc v̌oquant ceux des livres c̉olorier. Une lecture de dťente amusante et sans prťention. [SDM]